Si après tant d’années d’exaltation et de jubilation prodigieuse lui consacrées la démocratie continue à tenter de définir un ordre social aussi bien instable que contestataire des traditions des nations , ce qu’elle constitue un verrouillage idéologique imaginaire d’une part et d’autre part un chantage sur l’avenir et le destin des individus organisés en communautés prétextant ainsi l’aspiration de tous à l’universel . La démocratie, tendant par sa formule mobilisatrice à tirer de l’exercice de la souveraineté des résultats pratiques et spécifiquement les élections, elle serait donc au service des intérêts sociétaux et politiques qui du reste demeurent respectables, malheureusement au mépris des minorités et des civilisations préexistantes, antérieures. Sans remettre en cause les acquis d’organisation sociale qu’elle procure et garantit pour la légitimité du mode de gouvernance, elle constitue invariablement une doxa populiste héritée des décombres du siècle des lumières et préservées en raison de la peur et de l’incertitude.
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